Working Knowledge: Why Labour Matters for Information Studies.

Connaissances du travail : conséquences pour le domaine des sciences de I'information.

Information resource research; Labor; Language & languages; Communication; Culture; Developing countries; Developed countries

This paper responds to the theme of the 2009 CAIS conference, "Borders, Bridges, and Byways," in four ways. First, it takes up issues on the border of labour and language by examining the importance of viewing information as mutually constituted out of these two components. Second, it addresses the boundary between workers and users by explaining the need to incorporate workers more directly into information studies research. Third, it aims to integrate information labour with communication and cultural work. Finally, it points to the importance of bridging the divide that separates informational labour in rich countries from labour in poorer regions of the world. In doing so, the paper intends to shed light on why information studies scholars and practitioners need to spend more time on the study of labour. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Cet article s'inscrit dans la thématique du congrès de I'ACSI 2009, «Frontières, passerelles et carrefours», de quatre façons. Premièrement, il aborde les questions de la frontière existant entre le travail et la langue, en examinant l'importance de considérer l'information comme un ensemble constitué à partir de ces deux composantes. Deuxièmement, il porte sur la frontière entre les travailleurs et les usagers en expliquant la nécessité d'intégrer les travailleurs plus directement dans les travaux de recherche en sciences de l'information. Troisièmement, il vise à intégrer le travail d'information avec le travail lié aux domaines de la communication et celui de la culture. Enfin, il rappelle l'importance de combler le fossé qui sépare le travail d'information dans les pays riches et dans les régions plus pauvres. Ce faisant, cet article entend faire la lumière sur les raisons pour lesquelles les chercheurs universitaires en sciences de l'information et les praticiens ont besoin de se consacrer davantage à l'étude du travail. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

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