Contributors: Santé et droits sexuels et reproductifs (Unité de recherche Ined en partenariat avec Inserm - Université Paris Saclay - UVSQ) (UR14); Institut national d'études démographiques (INED); Centre de recherche en épidémiologie et santé des populations (CESP); Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ)-Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Hôpital Paul Brousse-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Université Paris-Saclay; Centre population et développement (CEPED - UMR_D 196); Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Université Paris Descartes - Paris 5 (UPD5); Sexualité et soins (Genre, Sexualité, Santé) (CESP - INSERM U1018 - Equipe 7); Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ)-Université Paris-Sud - Paris 11 (UP11)-Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Hôpital Paul Brousse-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ)-Université Paris-Sud - Paris 11 (UP11)-Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Hôpital Paul Brousse-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM); CERMES3 - Centre de recherche Médecine, sciences, santé, santé mentale, société (CERMES3 - UMR 8211 / U988 / UM 7); École des hautes études en sciences sociales (EHESS)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Paris Cité (UPCité); Centre d'Etude et de Recherche Travail Organisation Pouvoir (CERTOP); Université Toulouse - Jean Jaurès (UT2J); Université de Toulouse (UT)-Université de Toulouse (UT)-Université Toulouse III - Paul Sabatier (UT3); Université de Toulouse (UT)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS); Institut de Recherche Interdisciplinaire sur les enjeux Sociaux - sciences sociales, politique, santé (IRIS); Université Paris 13 (UP13)-École des hautes études en sciences sociales (EHESS)-Université Sorbonne Paris Cité (USPC)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Paris Sciences et Lettres (PSL); ANR-11-LABX-0066,SMS/SSW,Structurations des mondes sociaux(2011)
نبذة مختصرة : International audience ; By legalizing access to “anti-conceptional” methods, France’s Neuwirth Law paved the way for the diffusion of the contraceptive pill and the IUD, and for the medicalization of contraception. The birth control pill is now the most widely used method in France, though in third place at the international level, behind male and female sterilization, and the IUD. Since 2012 and the “pill scare” around new generations of birth control pills, pill use has decreased in France in favour of other methods, though the pill is still most commonly used. The recent controversy around the pill has opened up critical perspectives on the French contraceptive model, which may evolve toward more equal sharing of the responsibility for contraception between men and women. ; En légalisant l’accès aux méthodes anticonceptionnelles, la loi Neuwirth a rendu possible la diffusion de la pilule et du stérilet, et a conduit à la médicalisa on de la contraception. La pilule est depuis devenue la méthode la plus utilisée en France, alors qu’elle n’est qu’en troisième position à l’échelle mondiale, derrière la stérilisa on (féminine et masculine), méthode la plus courante, et le stérilet. Depuis 2012 et la controverse sur les pilules dites de nouvelles générations, son utilisation a diminué en France au pro t d’autres méthodes, même si la pilule reste la plus courante. La «crise des pilules» a permis de questionner le modèle contraceptif français qui pourrait évoluer vers une contraception mieux partagée entre femmes et hommes.
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