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Between cohabitation & confrontation: the dog in Mesopotamia ; Entre cohabitation & confrontation : le chien en Mésopotamie

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  • معلومة اضافية
    • Contributors:
      Collège de France (CdF (institution)); Proche-Orient, Caucase, Iran : Diversités et Continuités (PROCLAC); École Pratique des Hautes Études (EPHE); Université Paris Sciences et Lettres (PSL)-Université Paris Sciences et Lettres (PSL)-Collège de France (CdF (institution))-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS); Anthropologie et Histoire des Mondes Antiques (ANHIMA); Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (UP1)-École des hautes études en sciences sociales (EHESS)-École Pratique des Hautes Études (EPHE); Université Paris Sciences et Lettres (PSL)-Université Paris Sciences et Lettres (PSL)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Paris Cité (UPCité)
    • بيانات النشر:
      CCSD
      Méditerranée UMR 7044
    • الموضوع:
      2024
    • Collection:
      EPHE (Ecole pratique des hautes études, Paris): HAL
    • نبذة مختصرة :
      International audience ; Abstract:“In those days, there were no snakes, there were no scorpions, there were no hyenas, there were no lions, there were no dogs or wolves. There was no fear or terror. Humanity had no enemy”. If these few lines taken from the myth of Enmerkar and the Lord of Aratta provide a first idea of the Mesopotamian conception of predatory fauna, they do not reflect the complex and ambivalent symbolism attributed to certain threatening species with which the inhabitants of the Ancient Near East were confronted in their daily lives. This article proposes to illustrate this topic with the example of the dog by examining the different postures adopted towards this animal and their appropriation in the symbolic repertoire, more particularly in prophylactic and curative practices. ; Résumé :« En ce temps là, il n’y avait pas de serpent, il n’y avait pas de scorpion, il n’y avait pas de hyène, il n’y avait pas de lion, il n’y avait ni chien, ni loup. Il n’y avait ni peur ni terreur. L’humanité n’avait pas d’ennemi ! ». Si ces quelques lignes tirées du mythe d’Enmerkar et le seigneur d’Aratta fournissent une première idée de la conception mésopotamienne de la faune prédatrice, elles ne reflètent en rien la symbolique complexe et ambivalente attribuée à certaines espèces menaçantes auxquelles étaient confrontées les habitants du Proche-Orient ancien dans leur quotidien. Cet article se propose d’illustrer cette thématique par l’exemple du chien en examinant les différentes postures adoptées face à cet animal et leur mise à profit dans le répertoire symbolique, plus particulièrement dans les pratiques prophylactiques et curatives.
    • الرقم المعرف:
      10.47245/archimede.0011.ds1.06
    • الدخول الالكتروني :
      https://cnrs.hal.science/hal-04952275
      https://cnrs.hal.science/hal-04952275v1/document
      https://cnrs.hal.science/hal-04952275v1/file/N_11_AR_D1_06_CHALENDAR.pdf
      https://doi.org/10.47245/archimede.0011.ds1.06
    • Rights:
      info:eu-repo/semantics/OpenAccess
    • الرقم المعرف:
      edsbas.59D36D61