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Symptoms of major depressive disorder during the COVID-19 pandemic: results from a representative sample of the Canadian population

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  • معلومة اضافية
    • بيانات النشر:
      Health Promotion and Chronic Disease Prevention Branch (HPCDP) Public Health Agency of Canada, 2021.
    • الموضوع:
      2021
    • نبذة مختصرة :
      Since the outbreak of COVID-19, numerous studies from around the world have reported declines in mental health. However, most of these studies were of low-to-moderate quality and many were based on convenience samples or used mental health measures with low validity, or both. Consequently, it has been difficult to draw conclusions.Both the 2020 Survey on COVID-19 and Mental Health (SCMH) and the Canadian Community Health Survey (CCHS) (2015-2019) used the Patient Health Questionnaire-9 to screen for major depressive disorder (MDD) in adults aged 18 or older. The prevalence of MDD was compared between the SCMH and the CCHS. Risk and protective factors for MDD in the SCMH were examined using bivariate and logistic regression analyses.Based on SCMH data, 15.2% (95% CI: 14.2-16.2) of Canadians screened positive for MDD. The prevalence of MDD was more than two times higher in the SCMH (during COVID-19) than in the CCHS (predating COVID-19). In bivariate analysis, Canadians reporting five or more COVID-19-related risk factors were close to 30 times more likely to have MDD than those reporting no risk factors. Mastery and a sense of community belonging were protective factors for MDD.After remaining stable for two decades, the prevalence of depression among Canadians increased substantially with the onset of COVID-19. Ongoing monitoring of this common condition associated with major morbidity is vital to determine if elevated levels of MDD persist as we progress through and beyond future waves of COVID-19.Depuis le début de la pandémie de COVID 19, de nombreuses études à l’échelle mondiale ont fait état d’une détérioration de la santé mentale. Toutefois, la plupart de ces études sont de qualité faible ou moyenne, et bon nombre d’entre elles s’appuient sur des échantillons de commodité ou utilisent des mesures de la santé mentale à faible validité, voire les deux. Par conséquent, il est difficile d’en tirer des conclusions.L’Enquête sur la COVID 19 et la santé mentale (ECSM) de 2020 et l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (ESCC) (2015-2019) ont toutes les deux utilisé le Questionnaire en 9 points sur la santé du patient pour dépister le trouble dépressif majeur (TDM) chez les adultes de 18 ans et plus. On a comparé la prévalence du TDM dans l’ECSM et dans l’ESCC. Dans l’ECSM, on a étudié les facteurs de risque de TDM et les facteurs de protection par analyses bivariées à l’aide de régressions logistiques.Selon les données de l’ECSM, 15,2 % (IC à 95 % : 14,2 à 16,2 %) des Canadiens ont obtenu un résultat positif au dépistage du TDM. La prévalence du TDM était plus de deux fois plus élevée dans l’ECSM (durant la COVID 19) que dans l’ESCC (avant la COVID 19). Dans l’analyse bivariée, les Canadiens ayant déclaré avoir au moins cinq facteurs de risque liés à la COVID 19 étaient environ 30 fois plus susceptibles d’avoir un TDM que ceux ayant déclaré n’avoir aucun facteur de risque. Le sentiment de maîtrise et le sentiment d’appartenance à la communauté se sont révélés des facteurs de protection contre le TDM.Après être demeurée stable pendant 20 ans, la prévalence de la dépression chez les Canadiens a considérablement augmenté depuis le début de la pandémie de COVID 19. Il est essentiel de surveiller de façon continue ce trouble courant qui est associé à une morbidité importante, afin de déterminer si les taux élevés de TDM vont persister pendant et après les différentes vagues de COVID 19.During the second wave of COVID-19 in the fall of 2020, the prevalence of major depressive disorder (MDD) among Canadians aged 18 or older (defined as the proportion screening positive for MDD using the Patient Health Questionnaire-9) was 15% (13% for males and 18% for females). Based on data from eight Canadian provinces, the prevalence of MDD during the fall of 2020 was more than double what it had been in pre-COVID times (16% vs. 7%). A dose-response relationship was observed between MDD and COVID-19-related risk factors for poor mental health. Each increase in the number of COVID-19-related risk factors was associated with an increase the prevalence of MDD, ranging from 2% among those reporting no risk factors to 62% among those reporting five or more risk factors. Mastery, the extent to which individuals perceive they have control over their life circumstances, was strongly associated with MDD. Those with low levels of mastery were 17 times more likely to screen positive for MDD than those with high mastery. Individuals reporting a very weak sense of community belonging were 10 times more likely to screen positive for MDD than those with a very strong sense of belonging.Au cours de la deuxième vague de COVID 19 à l’automne 2020, la prévalence du trouble dépressif majeur (TDM), défini comme la proportion des répondants ayant un résultat positif au dépistage du TDM à l’aide du questionnaire sur la santé du patient (PHQ-9) chez les Canadiens de 18 ans et plus, était de 15 % (13 % chez les hommes et 18 % chez les femmes). D’après les données de huit provinces canadiennes, la prévalence du TDM à l’automne 2020 avait plus que doublé par rapport à la prévalence observée avant la pandémie de COVID (16 % contre 7 %). Une relation dose réponse a été observée entre le TDM et les facteurs de risque liés à la COVID 19 susceptibles d’entraîner une mauvaise santé mentale. Il est à noter que plus le nombre de facteurs de risque liés à la COVID 19 augmente, plus la prévalence du TDM augmente : ainsi, la prévalence du TDM passe de 2 % chez les personnes ne déclarant aucun facteur de risque lié à la COVID 19 à 62 % chez les personnes déclarant avoir cinq facteurs de risque ou plus. Le sentiment de maîtrise, c’est à dire la mesure dans laquelle une personne a l’impression d’exercer un contrôle sur ses conditions de vie, est fortement associé au TDM. Les personnes ayant l’impression d’avoir peu de maîtrise sur leur vie étaient 17 fois plus susceptibles d’obtenir un résultat positif au dépistage du TDM que celles ayant un fort sentiment de maîtrise de leur vie. Par ailleurs, les personnes déclarant avoir un très faible sentiment d’appartenance à la communauté étaient 10 fois plus susceptibles d’obtenir un résultat positif au dépistage du TDM que celles ayant un très fort sentiment d’appartenance.
    • ISSN:
      2368-738X
      2015-2019
    • Rights:
      OPEN
    • الرقم المعرف:
      edsair.doi.dedup.....7ea5db7e95b82511a5a087aec828d051