Item request has been placed!
×
Item request cannot be made.
×
Processing Request
Lacking sensory (rather than locomotive) legs affects locomotion but not food detection in the harvestman Holmbergiana weyenberghi.
Item request has been placed!
×
Item request cannot be made.
×
Processing Request
- معلومة اضافية
- الموضوع:
- نبذة مختصرة :
The ability to release a leg when forced by predators or during agonistic interactions is widespread and frequent in arthropods. Despite immediate benefits, losing legs may affect locomotion, sensory performance, reproduction, and fitness. The costs of autospasy in arachnids have been scarcely addressed. Therefore, we tested the hypothesis that the number and type of self-amputated legs (sensory or locomotive) affect locomotion and food detection speeds in the harvestman Holmbergiana weyenberghi (Holmberg, 1876) (Sclerosomatidae). With field surveys in a subtropical forest in Uruguay we found that 35% of individuals lacked at least one leg, and sensory legs (second pair) were the most frequently lost. In an indoor setup, we found that individuals missing one sensory leg walked and climbed a trunk slower than individuals lacking a locomotive leg (first, third, or fourth pair), or compared with those with eight legs. Lacking legs did not affect the food detection speed. Additionally, larger individuals with eight legs had greater walking and climbing speeds. Therefore, losing sensory legs affects locomotion in these harvestmen and may confer costs in orientation, balance, and substrate recognition. Finally, we compared our results with the different patterns reported for the effect of autospacy in other harvestman species. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- نبذة مختصرة :
La capacité de se départir d'une patte pour échapper à un prédateur ou durant des interactions agonistiques est répandue et fréquente chez les arthropodes. Si elle présente des avantages immédiats, la perte de pattes peut avoir une incidence sur la locomotion, la performance sensorielle, la reproduction et l'aptitude. Les coûts de l'autospasie chez les arachnides ont rarement été examinés. Nous avons donc testé l'hypothèse selon laquelle le nombre et le type de pattes (sensorielles ou locomotrices) auto-amputées auraient une incidence sur les vitesses de locomotion et de détection de la nourriture chez l'opilion Holmbergiana weyenberghi (Holmberg, 1876) (Sclerosomatidae). Des enquêtes sur le terrain dans une forêt subtropicale de l'Uruguay ont révélé que 35 % des individus avaient au moins une patte manquante, les pattes sensorielles (deuxième paire) étant celles qui manquaient le plus fréquemment. Dans une installation intérieure, nous avons constaté que les individus qui avaient perdu une patte sensorielle marchaient et escaladaient un tronc moins rapidement que les individus ayant perdu une patte locomotrice (première, troisième ou quatrième paire) ou ayant huit pattes. La perte de pattes n'avait pas d'incidence sur la vitesse de détection de la nourriture. En outre, les individus plus imposants à huit pattes marchaient et grimpaient plus rapidement que les plus petits individus. La perte de pattes sensorielles a donc une incidence sur la locomotion chez ces opilions et pourrait avoir des coûts en ce qui concerne l'orientation, l'équilibre et la reconnaissance du substrat. Nous avons comparé nos résultats aux résultats déjà publiés sur les effets de l'autospasie chez d'autres espèces d'opilions. [Traduit par la Rédaction] [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- نبذة مختصرة :
Copyright of Canadian Journal of Zoology is the property of Canadian Science Publishing and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)
No Comments.