Influences of phenological differences on leaf-level carbon budget between the upper and lower crown of Lyonia ovalifolia.

To assess the significance of leaf phenology on leaf-level carbon budget, I measured seasonal changes in daily carbon budget of the upper and lower leaves within a single crown of Lyonia ovalifolia var. elliptica, a subcanopy tree species. Leaf-level carbon budget was evaluated as the product of area-based assimilation rates and leaf area minus leaf construction cost for a day. The area of the upper leaves gradually increased from spring to summer, whereas that of the lower leaves rapidly increased in early spring. Morphological, biochemical and physiological characteristics in lower leaves matured earlier than in upper leaves. Leaves in the lower crown produced a large amount of photosynthate (1.35 mg C·day−1) using the high light intensity of early spring. On the other hand the highest assimilation rate (5.23 mg C·day−1) was observed in late spring in the upper crown. Phenological differences in morphological and physiological characteristics among leaves in different positions within a crown can be interpreted as the acclimation to the seasonal changes in light acquisition for a leaf. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Pour évaluer l'influence de la phénologie foliaire sur le budget carboné à l'échelle de la feuille, l'auteur a mesuré les changements saisonniers du budget carboné quotidien chez les feuilles du bas et du haut dans un même houppier du Lyonia ovalifolia var. elliptica, une espèce arborescente de sous-étage. Il a évalué le budget carboné à l'échelle de la feuille comme le produit des taux d'assimilation basés sur l'aire et la surface foliaire moins le coût de construction pour la journée. La surface des feuilles du haut augmente graduellement du printemps à l'automne, alors que celle des feuilles du bas augmente rapidement au printemps. Les caractéristiques morphologiques, biochimiques et physiologiques des feuilles du bas atteignent leur maturité plus rapidement que chez les feuilles du haut. Les feuilles du bas du houppier produisent une grande quantité de photosynthétat (1.35 mg C·jour−1) en utilisant la lumière de haute intensité du début du printemps. D'autre part, on observe le taux le plus élevé d'assimilation (5.23 mg C·jour−1) à la fin du printemps, dans le houppier supérieur. On peut interpréter les différences phénologiques des caractéristiques morphologiques et physiologiques, entre les feuilles occupant différentes positions dans le houppier, comme une acclimatation aux changements saisonniers dans l'acquisition de la lumière par la feuille. [ABSTRACT FROM AUTHOR]