Item request has been placed!
×
Item request cannot be made.
×

Processing Request
Feeling our way: academia, emotions and a politics of care.
Item request has been placed!
×
Item request cannot be made.
×

Processing Request
- المؤلفون: Askins, Kye1 (AUTHOR) ; Blazek, Matej2 (AUTHOR)
- المصدر:
Social & Cultural Geography. Dec2017, Vol. 18 Issue 8, p1086-1105. 20p.
- الموضوع:
- معلومة اضافية
- Alternate Title:
Tanteando el terreno: el mundo académico, las emociones y la política de cuidado.
Ressentis: le monde universitaire, émotions et politique de sensibilité.
- نبذة مختصرة :
This paper aims to better understand the role of emotions in academia, and their part in producing, and challenging, an increasingly normalised neoliberal academy. It unfolds from two narratives that foreground emotions in and across academic spaces and practices, to critically explore how knowledges and positions are constructed and circulated. It then moves to consider these issues through the lens of care as a political stance towards being and becoming academics in neoliberal times. Our aim is to contribute to the burgeoning literature on emotional geographies, explicitly bringing this work into conversation with resurgent debates surrounding an ethic of care, as part of a politic of critiquing individualism and managerialism in (and beyond) the academy. We consider the ways in which neoliberal university structures circulate particular affects, prompting emotions such as desire and anxiety, and the internalisation of competition and audit as embodied scholars. Our narratives exemplify how attendant emotions and affect can reverberate and be further reproduced through university cultures, and diffuse across personal and professional lives. We argue that emotions in academia matter, mutually co-producing everyday social relations and practices at and across all levels. We are interested in their political implications, and how neoliberal norms can be shifted through practices of caring-with. [ABSTRACT FROM PUBLISHER]
- نبذة مختصرة :
Este documento tiene como objetivo comprender mejor el rol de las emociones en el mundo académico, y su papel en la producción, y cuestionamiento, de una academia neoliberal cada vez más normalizada. Se desarrolla a partir de dos narrativas que ponen en primer plano las emociones dentro y a través de espacios y prácticas académicas, para explorar críticamente cómo los conocimientos y posiciones están construidos y distribuidos. A continuación se pasa a considerar estas cuestiones desde el punto de vista de cuidado como una postura política hacia el ser y el hacerse académicos en tiempos neoliberales. El objetivo es contribuir a la creciente literatura sobre las geografías emocionales, abriendo el diálogo de forma explícita entre este trabajo y los debates que rodean el resurgimiento de una ética del cuidado, como parte de una política que critica el individualismo y el gerencialismo (managerialism) en (y más allá) del mundo académico. Se consideran las formas en que las estructuras universitarias neoliberales circulan afectos particulares, provocando emociones tales como el deseo y la ansiedad, y la internalización de la competencia y la auditoría por parte de investigadores consagrados. Nuestros relatos ejemplifican cómo las emociones y afectos concomitantes pueden repercutir y reproducirse también a través de la cultura universitaria, y difundirse a través de las vidas personales y profesionales. Se argumenta que las emociones en el mundo académico tienen importancia, ya que co-producen relaciones y prácticas sociales cotidianas en y a través de todos los niveles. Hay un interés en sus implicaciones políticas, y en cómo las normas neoliberales pueden desplazarse a través de prácticas del cuidar-con. [ABSTRACT FROM PUBLISHER]
- نبذة مختصرة :
Cet article a pour but de mieux comprendre le rôle des émotions dans le monde universitaire, et leur implication dans le fait de produire et de défier une université normalisée de plus en plus néolibérale. Il découle de deux discours qui mettent les émotions au premier plan dans et à travers les espaces et les pratiques universitaires, afin d’explorer de façon critique comment les connaissances et les positions sont construites et comment on les fait circuler. Il continue ensuite par prendre en compte ces questions sous l’angle de la sensibilité en tant que position politique pour être et devenir un universitaire en ces temps néolibéraux. Notre but est de contribuer à la recherche qui se développe dans le domaine des géographies émotionnelles, en amenant ce travail de manière explicite dans la conversation des débats renaissants au sujet d’une éthique de sensibilité, comme faisant partie d’une politique qui critique l’individualisme et le gestionnariat dans le monde universitaire (et au-delà). Nous examinons les façons dont les structures universitaires néolibérales font circuler certains affects particuliers, qui induisent des émotions telles que le désir et l’anxiété ainsi que l’internalisation de la compétition et de l’évaluation en tant qu’universitaires incarnés. Nos récits donnent en exemple comment les émotions et les affects qui y sont liés peuvent faire écho et se reproduire de plus en plus à travers les cultures de l’université et se propager dans les vies personnelles et professionnelles. Nous soutenons que les émotions à l’université sont importantes, coproduisant mutuellement des relations et pratiques sociales à tous les niveaux. Nous nous intéressons à leurs implications politiques et à la façon dont les normes néolibérales peuvent changer à travers des pratiques de sensibilité. [ABSTRACT FROM PUBLISHER]
No Comments.