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Are Canadians more willing to provide chest-compression-only cardiopulmonary resuscitation (CPR)?—a nation-wide public survey.

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  • معلومة اضافية
    • الموضوع:
    • نبذة مختصرة :
      BackgroundBystander cardiopulmonary resuscitation (CPR) improves the likelihood of survival from out-of-hospital cardiac arrest (OHCA), yet it is performed in only 30% of cases. The 2010 guidelines promote chest-compression-only bystander CPR—a change intended to increase willingness to provide CPR.Objectives1) To determine whether the Canadian general public is more willing to perform chest-compression-only CPR compared to traditional CPR; 2) to characterize public knowledge of OHCA; and 3) to identify barriers and facilitators to bystander CPR.MethodsA 32-item survey assessing resuscitation knowledge, and willingness to provide CPR were disseminated in five Canadian regions. Descriptive statistics were used to characterize response distribution. Logistic regression analysis was applied to assess shifts in intention to provide CPR.ResultsA total of 428 completed surveys were analysed. When presented with a scenario of being a bystander in an OHCA, a greater proportion of respondents were willing to provide chest-compression-only CPR compared to traditional CPR for all victims (61.5% v. 39.7%, p<0.001), when the victim was a stranger (55.1% v. 38.8%, p<0.001), or when the victim was an unkempt individual (47.9% v. 28.5%, p<0.001). When asked to describe an OHCA, 41.4% said the heart stopped beating, and 20.8% said it was a heart attack. Identified barriers and facilitators included fear of litigation and lack of skill confidence.ConclusionsThis study identified gaps in knowledge, which may impair the ability of bystanders to act in OHCA. Most respondents expressed greater willingness to provide chest-compression-only CPR, but this was mediated by victim characteristics, skill confidence, and recognition of a cardiac arrest. [ABSTRACT FROM PUBLISHER]
    • نبذة مختصرة :
      ContexteLes manœuvres de réanimation cardiopulmonaire (RCP), effectuées par les passants améliorent les probabilités de survie en cas d’arrêt cardiaque survenu en milieu extrahospitalier (ACMEH); pourtant, les manœuvres ne sont effectuées que dans 30 % des cas. Dans les lignes directrices de 2010, on favorise les manœuvres de RCP par compressions thoraciques seules faites par les passants, un changement visant à accroître la disposition à pratiquer la RCP.ObjectifsL’étude visait à : 1) déterminer si les Canadiens en général étaient plus disposés à pratiquer les manœuvres de RCP par compressions thoraciques seules que selon la méthode classique de RCP; 2) caractériser les connaissances du public sur l’ACMEH; 3) cerner les obstacles à la pratique de la RCP par les passants, ainsi que les facteurs facilitants.MéthodeUn questionnaire d’enquête en 32 points, portant sur les connaissances relatives à la réanimation et sur la disposition à effectuer la RCP a été envoyé dans cinq régions du Canada. Les auteurs ont utilisé des statistiques descriptives afin de caractériser la ventilation des réponses, et ont eu recours à l’analyse de régression logistique afin d’évaluer les changements d’intention quant à la pratique de la RCP.RésultatsOnt été analysés 428 questionnaires d’enquête remplis. Dans les scénarios d’ACMEH soumis, dans lesquels les personnes interrogées étaient des passants, une proportion plus grande de répondants était disposée à pratiquer la RCP par compressions thoraciques seules que selon la méthode classique, et ce, chez toutes les victimes (61,5 % contre [c.] 39,7 %; p<0,001), chez les inconnus (55,1 % c. 38,8 %; p<0,001) ou chez les personnes à l’apparence négligée (47,9 % c. 28,5 %; p<0,001). On a également demandé aux participants de décrire ce qu’était l’ACMEH : 41,4 % ont affirmé que le cœur arrêtait de battre et 20,8 %, qu’il s’agissait d’une crise cardiaque. Figuraient parmi les obstacles à la pratique de la RCP la crainte de poursuite et le manque de confiance en ses capacités.ConclusionsL’étude a permis de relever des lacunes en matière de connaissances, ce qui peut certes faire hésiter les passants avant d’agir devant un ACMEH. La plupart des répondants ont montré une disposition accrue à pratiquer la RCP par compressions thoraciques seules, mais les caractéristiques des victimes, le manque de confiance en ses capacités et la non-reconnaissance de l’arrêt cardiaque en ont quelque peu atténué la portée. [ABSTRACT FROM PUBLISHER]
    • نبذة مختصرة :
      ContexteLes manœuvres de réanimation cardiopulmonaire (RCP), effectuées par les passants améliorent les probabilités de survie en cas d’arrêt cardiaque survenu en milieu extrahospitalier (ACMEH); pourtant, les manœuvres ne sont effectuées que dans 30 % des cas. Dans les lignes directrices de 2010, on favorise les manœuvres de RCP par compressions thoraciques seules faites par les passants, un changement visant à accroître la disposition à pratiquer la RCP.ObjectifsL’étude visait à : 1) déterminer si les Canadiens en général étaient plus disposés à pratiquer les manœuvres de RCP par compressions thoraciques seules que selon la méthode classique de RCP; 2) caractériser les connaissances du public sur l’ACMEH; 3) cerner les obstacles à la pratique de la RCP par les passants, ainsi que les facteurs facilitants.MéthodeUn questionnaire d’enquête en 32 points, portant sur les connaissances relatives à la réanimation et sur la disposition à effectuer la RCP a été envoyé dans cinq régions du Canada. Les auteurs ont utilisé des statistiques descriptives afin de caractériser la ventilation des réponses, et ont eu recours à l’analyse de régression logistique afin d’évaluer les changements d’intention quant à la pratique de la RCP.RésultatsOnt été analysés 428 questionnaires d’enquête remplis. Dans les scénarios d’ACMEH soumis, dans lesquels les personnes interrogées étaient des passants, une proportion plus grande de répondants était disposée à pratiquer la RCP par compressions thoraciques seules que selon la méthode classique, et ce, chez toutes les victimes (61,5 % contre [c.] 39,7 %; p<0,001), chez les inconnus (55,1 % c. 38,8 %; p<0,001) ou chez les personnes à l’apparence négligée (47,9 % c. 28,5 %; p<0,001). On a également demandé aux participants de décrire ce qu’était l’ACMEH : 41,4 % ont affirmé que le cœur arrêtait de battre et 20,8 %, qu’il s’agissait d’une crise cardiaque. Figuraient parmi les obstacles à la pratique de la RCP la crainte de poursuite et le manque de confiance en ses capacités.ConclusionsL’étude a permis de relever des lacunes en matière de connaissances, ce qui peut certes faire hésiter les passants avant d’agir devant un ACMEH. La plupart des répondants ont montré une disposition accrue à pratiquer la RCP par compressions thoraciques seules, mais les caractéristiques des victimes, le manque de confiance en ses capacités et la non-reconnaissance de l’arrêt cardiaque en ont quelque peu atténué la portée. [ABSTRACT FROM AUTHOR]